L’ancienne femme de ménage du prince Andrew, Charlotte Briggs, brise enfin le silence et révèle des détails choquants sur le comportement du duc de York qui pourraient bouleverser l’image de la famille royale britannique. Après des années d’observation, Charlotte raconte les crises de colère d’Andrew, décrivant un incident où il a éclaté de rage après qu’elle ait tiré les rideaux de sa chambre, provoquant des larmes chez elle. Ce n’est pas un cas isolé : elle décrit un homme extrêmement exigeant, dont le comportement a rendu son expérience au palais insupportable.
Les révélations de Charlotte ne s’arrêtent pas là. Elle évoque une obsession troublante du prince pour sa collection de 72 ours en peluche, dont l’arrangement minutieux était source de stress pour le personnel. Si les instructions n’étaient pas suivies à la lettre, Andrew ne manquait pas de faire preuve de colère. D’autres anciens employés corroborent ces récits, témoignant d’un comportement enfantin et égoïste, en contraste frappant avec des figures comme Nelson Mandela, dont la chaleur humaine et l’humilité ont marqué Charlotte.
Ces témoignages jettent une lumière accablante sur le duc de York, déjà en proie à des scandales liés à Jeffrey Epstein. La volonté de Charlotte de dénoncer le comportement d’Andrew, en le qualifiant d’homme horrible et méchant, souligne l’impact durable de ses actions sur ceux qui l’ont servi. Alors que le public digère les conséquences des scandales entourant Andrew, ces récits troublants révèlent la réalité du pouvoir royal, laissant entrevoir un homme qui abuse de ses privilèges au détriment de ceux qui l’entourent. Les retombées de cette révélation pourraient bien redéfinir la perception du prince Andrew et de la monarchie britannique dans son ensemble.